Découvrez Marc Ogeret!
lundi 27 octobre 2008
samedi 25 octobre 2008
jeudi 23 octobre 2008
mercredi 22 octobre 2008
lundi 20 octobre 2008
Elle !
Elle distribuait des préservatifs aux hommes et la pilule aux femmes,
Sœur Emmanuelle était l'honneur de l'église catholique et apostolique romaine.
jeudi 16 octobre 2008
Boum, badaboum… (3)
Les Bourses européennes redégringolent fortement
Après avoir très nettement rebondi lundi et mardi, les marchés du Vieux Continent ont connu une nouvelle journée noire. A Paris, le CAC a perdu 6,82%. En cause: les craintes liées à la récession américaine.
Un investisseur chinois observe l'évolution des cours de bourse sur grand écran. (REUTERS)
Les marchés européens ont fortement chuté aujourd'hui, après deux séances consécutives de très forte hausse, plombés par les craintes généralisées de récession liées aux répercussions de la crise financière.
Aux Etats-Unis, ces risques de récession se sont précisés après la publication d'indicateurs plus mauvais que prévus. Les ventes de détail américaines affichent notamment un recul de 1,2% sur le mois de septembre, alors que les analystes attendaient un repli plus modeste de 0,7%.
Les trois principales places financières européennes ont ainsi clôturé en forte baisse, se suivant de près: Londres a chuté de 7,16%, Paris de 6,82% et Francfort de 6,49%. Et l'indice pan-européen Eurostoxx 50 a cédé 6,91%.
«On a un déplacement de la crise financière vers l'économie réelle. Il y a un mouvement de balancier, quand on semble avoir réglé un problème bancaire, le marché se reporte sur l'impact sur les entreprises et les ménages», explique un vendeur d'actions à Paris.
Bruxelles a perdu 5,93%, Milan a chuté de 5,33%,Madrid de 5,06%, la Bourse suisse de 5,58% et Vienne5,19%. Enfin, Lisbonne a limité les pertes en clôturant en baisse de 3,06%.
Les Bourses nordiques ont également plongé, reperdant une partie du terrain gagné les deux jours précédents.Oslo a accusé la plus forte chute en s'effondrant de 8,81%, Copenhague a décroché de 5,99% tandis queStockholm finissait sur une chute de 5,71% et Helsinkide 5,74%.
Après les indicateurs défavorables américains, en Allemagne, le gouvernement devrait annoncer jeudi une révision en baisse de la prévision de croissance du PIB pour 2009, à 0,2% contre 1,2% jusqu'à présent.
(D'après AFP)
samedi 11 octobre 2008
Le hold-up du siécle… !
Après nous avoir volé avec l'inflation des années 70 comme cons-sots-matteurs, puis volés comme salariés depuis 25 ans (10 % de transfert de charge du revenu du travail vers le revenu du capital), les voilà qui nous volent comme citoyens/cons-tribut-ables à merci !
Heu ! C'est quand la révolution ?
Ah ! Bah, non ! Rien !
Pourquoi ?
Quand on est stressé, apeuré, on choisit la "sécurité", donc on vote à droite.
Sont fous les humains…
;-(((
(source)
vendredi 10 octobre 2008
Boum, badaboum… (2)
Et pendant ce temps-là, un blogueur satirique est condamné par la justice (?) à payer près de 12 000 € à la demande d'un politique de droite ! Là !
mercredi 8 octobre 2008
lundi 6 octobre 2008
Boum, badaboum…
Et je découvre ce matin-même, (non, en fait, on le sait depuis samedi, mais bon…) que le premier blogueur politique est aussi administrateur de ce blog ! :O)
Tiens, à propos, comment fait-on pour être référencé sur Wikio ?
[Chuis pô geek !]
dimanche 5 octobre 2008
le travail humain…
Le travail humain ! c'est l'explosion qui éclaire mon abîme de temps en temps.
"Rien n'est vanité; à la science, et en avant!" crie l'Ecclésiaste moderne, c'est-à-dire Tout le monde. Et pourtant les cadavres des méchants et des fainéants tombent sur le coeur des autres... Ah! vite, vite un peu; là-bas, par delà la nuit, ces récompenses futures, éternelles... les échappons-nous?...
- Qu'y puis-je? Je connais le travail; et la science est trop lente. Que la prière galope et que la lumière gronde... je le vois bien. C'est trop simple, et il fait trop chaud; on se passera de moi. J'ai mon devoir, j'en serai fier à la façon de plusieurs, en le mettant de côté.
Ma vie est usée. Allons! feignons, fainéantons, ô pitié! Et nous existerons en nous amusant, en rêvant amours monstres et univers fantastiques, en nous plaignant et en nous querellant les apparences du monde, saltimbanque, mendiant, artiste, bandit, - prêtre! Sur mon lit d'hôpital, l'odeur de l'encens m'est revenue si puissante; gardien des aromates sacrés, confesseur, martyr...
Je reconnais là ma sale éducation d'enfance. Puis quoi!... Aller mes vingt ans, si les autres vont vingt ans...
Non! non! à présent je me révolte contre la mort! Le travail paraît trop léger à mon orgueil: ma trahison au monde serait un supplice trop court. Au dernier moment, j'attaquerais à droite, à gauche...
Alors, - oh! - chère pauvre âme, l'éternité serait-elle pas perdue pour nous!
Le bateau ivre (extraits)
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Quelques rappels importants…
Une image suffit, malheureusement !
Si on clique sur l'image, elle s'agrandit, magique ! ;o)
jeudi 2 octobre 2008
Spécial copinage…
Un
Spectacle
Écrit et performé par Yve Bressande.
métaphysique et humour, poésie et philosophie.
Collection de titres non exhaust'yve !
Les Mortiburlesqueries tragicocomiques de M. Trivelin / Collages et décollages poétiques / Le sens du vent, le sens de la vie / Et puis quoi encore ? ! / La nuit des temps / Genèse / La vie d'artiste / Comment ça vient / Et ce n'est pas drôle /Une heure une vie / Trivelinades / Urgences ! /
Poètes en bande organisée,
pour plus de détails tapez Edvige ( D.C.R.I. )
Tout ce que vous n'avez jamais su sur le poète même en osant le demander !
Urgence de lutter contre la grande marée du sommeil
Urgence de garder les yeux ouverts
Urgence de crier de créer de résister
Urgence de vivre sans aliénation
Urgence de ne pas être esclave de la bigue grosse machine
Urgence de ne pas attraper la libéralopathie la...
Du jeudi 2 au dimanche 5 octobre 2008
à 20 h 30 sauf dimanche 17 h 30
Au Carré 30
12, rue Pizay - 69001 Lyon (Métro Hôtel-De-Ville)
Tél. : 04 78 39 74 61 Adel. : carre30lyon@free.fr
Ils seront tous là, par la poésie et par l'esprit !
Par ordre d'apparition sur scène : Alberto, Arthur Rimbaud, Antonin Artaud,
sans oublié le mystérieux Théodore Noémie Trivelin.
Genèse, affiche, textes, présentat'yve sur le blogue InterAct'yve :
http://yvebressande.over-blog.com/
Comment ça vient ?
Une histoire, un personnage, et le théâtre ; de la nuit des temps à nos jours, et ce en à peine plus d'une heure.
En camarades de jeu, Gérard Bourgeois et votre serviteur.
Merci au poète Alberto Rosa le Comandant Suprême de Toutes les Forces Artistiques Alliées en Europe sans qui…
et à PtiPierre infatigable correcteur et répondeur à toutes mes questions y compris les plus incongruses voire saugrenuses.
Régie générale & conseils avisés : Jean Richy-Maury
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