mardi 29 juillet 2008

L'armée italienne va occuper l'Italie

Étonnant-non ?  
Et tout cela pour la sécurité, bien-sûr !
Comment ? Que dites-vous ? Élève Bénito ? Comment s'appelle un tel régime politique ?
Le fascisme ! Bravo ! Élève Bénito ! Comment ? C'est votre camarade Sylvio qui vous a soufflé ? 
Dites-moi, vous vous entendez bien, tous les deux, non ? Vous pouvez repartir à  vos places.

samedi 26 juillet 2008

Je fais la une de cozop !


Je suis donc un blogueur z'influent ! Hi hi hi ! ;O))

Mais…


Henri Guaino réaffirme ses propos: «L'homme africain est entré dans l'histoire et dans le monde, mais pas assez. Pourquoi le nier?»

«Revenons un instant sur le passage qui a déchaîné tant de passions et qui dit que "l'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire". Nulle part il n'est dit que les Africains n'ont pas d'histoire. Tout le monde en a une. Mais le rapport à l'histoire n'est pas le même d'une époque à une autre, d'une civilisation à l'autre», affirme le conseiller de Nicolas Sarkozy.

«Dans les sociétés paysannes, le temps cyclique l'emporte sur le temps linéaire, qui est celui de l'histoire. Dans les sociétés modernes, c'est l'inverse», ajoute-t-il.

«L'homme moderne est angoissé par une histoire dont il est l'acteur et dont il ne connaît pas la suite. Cette conception du temps qui se déploie dans la durée et dans une direction, c'est Rome et le judaïsme qui l'ont expérimentée les premiers. Puis il a fallu des millénaires pour que l'Occident invente l'idéologie du progrès», poursuit le conseiller du Président, qui convoque à l'appui de sa thèse le philosophe Emmanuel Mounier et l'historien Fernand Braudel.

«Cela ne veut pas dire que dans toutes les autres formes de civilisation il n'y a pas eu des progrès, des inventions cumulatives. Mais l'idéologie du progrès telle que nous la connaissons est propre à l'héritage des Lumières.» 

Le discours de Dakar de Nicolas Sarkozy avait été vivement critiqué, notamment par le philosophe Bernard-Henri Lévy et par Abdoulaye Wade, qui l'avait jugé «inacceptable».


Sauf que, le judaïsme est une religion égyptienne. Relire Mme Desroche-Noblecourt, Hérodote et Platon serait important pour ce monsieur qui écrit les discours de SuperNullos, moi j'dis !


Dans le même sillage, on aurait : Je ne suis pas raciste, mais

Je n'suis pas antisémite, mais

J'aime bien les pédés, mais

J'ai des amis arabes, mais

Etc.


Le pétrole…

Une vidéo trouvée chez Karl Zéro…

mercredi 23 juillet 2008

Ségolène Royal m'écrit…

Chères amies, Chers amis, 

La réforme des institutions a été adoptée hier par le Congrès réuni à Versailles. 

Ce n’est pas la victoire de la démocratie, c’est le renforcement du pouvoir monocratique de Nicolas Sarkozy, à coups de pressions indignes sur plusieurs députés.

C’est Robert Badinter, l’ancien président du Conseil constitutionnel, qui a le mieux exposé les raisons de ne pas voter ce texte et souligné l’occasion perdue de mettre fin à la « monocratie » qui caractérise aujourd’hui notre régime (Vous pourrez lire son texte ci-dessous.) 

Où sont les garanties et les moyens d'indépendance de la presse ? Aujourd'hui, on constate la mainmise des groupes financiers proches du pouvoir sur les principaux médias, et la tentative de mise sous tutelle du service public de l'audiovisuel. Où est le mandat unique qui permettrait au Parlement d’être plus représentatif de la société française ? Il manque aussi ces deux autres piliers que sont la démocratie sociale - on a vu récemment la façon humiliante dont Nicolas Sarkozy traite les syndicats - et la démocratie territoriale, avec une nouvelle étape de décentralisation qui permettrait à l'État d'être plus efficace. 

Certains reprochent à la gauche d’être dans une « opposition pavlovienne ». Mais c’est la droite qui conduit une politique dure, dogmatique, brutale et cela, de façon systématique ! C’est le régime du mépris généralisé, comme je le disais dans une interview au Parisien.

Alors non, il n’était pas moral de donner quitus à un gouvernement qui, tous les jours, donne de mauvais exemples de gestion des affaires publiques. Un seul socialiste a voté en faveur de la réforme. Comme par hasard, celui-là même qui m’a violemment attaquée quand je me contentais de dire la vérité sur Nicolas Sarkozy. Saura-t-on le prix payé pour ce vote ? Quelle dépendance et pourquoi ? Les démocrates, eux, en supporteront le coût. Bravo, en tous cas, aux élus radicaux qui ont résisté à la pression. 

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Question plus importante : qui, pendant ce temps-là, se soucie de la vie quotidienne des Français, sur laquelle cette réforme institutionnelle n’aura aucun effet ? Cet été, ils vont passer moins de temps en vacances que l’an dernier et sont déjà préoccupés par les factures de la rentrée.

À ce sujet, je retiens deux faits marquants dans l’actualité. L’insee nous apprend que le nombre de Français pauvres a encore augmenté. Ce sont aujourd’hui 7,9 millions de personnes qui gagnent moins de 880 euros par mois. Presque 14 % de la population. C’est énorme et inquiétant. 

À l’autre bout de la chaîne, les plus riches voient leurs revenus augmenter sans arrêt. Le nombre d’assujettis à l’impôt sur la fortune est maintenant de 548 000 foyers. Mais, comble du comble, les recettes que l’impôt sur la fortune apporte à l’État ont baissé de presque 6 % par rapport à l’an dernier. Les avantages fiscaux accordés par la droite aux plus riches portent leurs fruits. Au détriment de tous les autres…

Pour toutes ces raisons, et d’autres encore, ne baissons pas les bras pour combattre ce système politique.

À bientôt,

Ségolène Royal




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Robert Badinter, sénateur, ancien président du Conseil constitutionnel 

« Non à l'hyperprésidence »

Publié dans l’édition du Monde du 20 juillet 2008

http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/07/19/non-a-l-hyperpresidence-par-robert-badinter_1075175_0.html

« Certains se demandent si, en refusant de voter la révision constitutionnelle, les socialistes ne sont pas en train de passer à côté d'une opportunité : rééquilibrer les institutions. La réponse est non. Cette révision est une occasion perdue, non pour les socialistes, mais pour la République. Nos institutions souffrent d'un mal profond : l'hyperpuissance du président. Il est le véritable chef du gouvernement, pour ne pas dire le gouvernement à lui seul, dans la pratique actuelle de l'Elysée. Et, depuis le quinquennat et la succession des élections présidentielle et législatives, il est le chef réel de la majorité présidentielle à l'Assemblée. La séparation des pouvoirs n'est plus qu'apparence. De surcroît, ce pouvoir sans pareil n'est assorti d'aucune responsabilité. J'appelle ce régime la monocratie : le pouvoir d'un seul dans la République.

Or le projet de révision ne réduit pas les pouvoirs du président. Il les accroît en lui permettant de s'adresser directement aux parlementaires réunis en Congrès. Le président présentera un bilan flatteur de son action et fera acclamer par sa majorité son programme de gouvernement. Le premier ministre comme chef de la majorité parlementaire disparaît. Le renforcement des prérogatives du Parlement, premier objectif de la révision selon le président, est un leurre en termes de pouvoir réel. Tant que le président sera le chef incontesté de la majorité à l'Assemblée, le Palais-Bourbon demeurera une annexe du palais de l'Elysée. "Cy veut le Roi, cy fait la loi", l'axiome de l'Ancien Régime demeure la règle sous la Ve République.

Quant aux pouvoirs de nomination du président aux grandes fonctions (Conseil constitutionnel, CSA, etc.), on annonce "un changement considérable" : le choix du président pourra être refusé par un vote des trois cinquièmes des membres d'une commission parlementaire. Mais un tel vote requiert le concours de la majorité présidentielle, qui ne sera jamais donné contre la volonté du président. Si on voulait rendre ces nominations consensuelles, il faudrait une majorité positive des trois cinquièmes nécessitant l'accord de l'opposition. On est loin du compte.

D'autres font valoir que la réforme accorde à l'opposition parlementaire des droits nouveaux. Mais il faut regarder la portée des textes et non pas seulement l'étiquette. On nous dit : le Parlement aura la maîtrise de la moitié de l'ordre du jour, "un progrès immense". Mais qu'en est-il pour l'opposition ? Le projet lui réserve un jour pour trois semaines, à partager avec les centristes. Belle avancée démocratique !

Autre exemple. Le président annonce que la présidence d'une commission parlementaire sur huit sera réservée à l'opposition. Pourquoi pas trois ? Nous ne demandons pas des pourboires, mais un rééquilibrage.

Enfin, la révision proposée consolide le mode d'élection archaïque des sénateurs, qui assure à la droite une majorité pérenne au Sénat. Cette situation est un défi à la démocratie. Le comité Balladur avait ouvert la voie à un changement possible. La droite sénatoriale a tout refusé à ce sujet. Elle entend demeurer maîtresse du Sénat et, par là, de toute révision constitutionnelle proposée par la gauche. Lors de la prochaine alternance, la gauche devra donc présenter un projet de révision constitutionnelle, soumis directement au pays par voie de référendum. Il devra inclure la reconnaissance du droit de vote aux élections municipales des immigrés régulièrement établis en France. Cette réforme-là, si importante pour l'intégration, est ignorée par l'actuelle révision.

Dans ces conditions, libre à qui le veut de danser un pas de deux constitutionnel avec le président de la République. Ce n'est pas notre choix. »

mardi 22 juillet 2008

Leçon d'histoire économique

C'est au village des facteurs d'images 
C'est un site collectif marseillais, où, ho ! Quel hazard ! On retrouve mon ami poète/philosophe Yannis Youlountas !

NB : Un jour, je saurai bloguer des vidéos, ou pas… ;-)

Les amis


Le destin de JL ne doit pas altérer les amitiés URL et/ou IRL, moi j'dis… 
Alors, on se calme, les enfants…

lundi 21 juillet 2008

Les étoiles…

Connaissez-vous ce site ?
Moi, j'adore…

Une ou deux ?

L'expression : "À un voix près" était inappropriée. Elle n'est pas synonyme de : "Une voix de plus". 
Il fallait dire : "À deux voix près". Gageons que le champignacien va nous faire un  article…
Cf : GB.
Rhalàlà… les gens ne savent plus compter et parler !
Ce serait intérrêssant d'enquêter et de savoir qui a le premier dit cette bétise…

dimanche 20 juillet 2008

L'honneur de l'Europe, enfin de tous…

Vu chez dedalus

le discours de Daniel Cohn  Bendit.

Fin d'un blog ?

culturepolitique

L'honneur d'une nation…

Robert Badinter !

C'est l'été, c'est dimanche, il fait beau, la blogosphère est en vacance, amusons-nous !

François Sagat m'a écrit…

Cher Jean

J'espère que vous allez bien. Je voulais vous dire que je pense souvent à vous. Savez-vous pourquoi? Parce que je me dis qu'un homme si intelligent mérite qu'on pense tout le temps à lui. Il faut dire: même Pierre Fitch n'est pas aussi beau que vous! Vous aurez peut-être l'impression que j'exagère, mais je suis sincère... C'est ainsi, vous ne pourrez pas m'empêcher de penser que vous ''sortez du lot'', comme on dit. Vous sortez du lot, notamment par votre sagesse inouïe. A vrai dire, je pense même être en dessous de la réalité: car il n'y a pas de mots! Je pourrais vous comparer à un dieu, un ange, ou à Mika, (je plaisante), je n'arriverais pas à être dans le vrai. Je dois vous quitter, et ça m'arrache le coeur à chaque fois. Mais je me réjouis à l'idée de vous revoir! A bientôt!

François Sagat

Hi hi hi… ;°)))

Rappel! Ce message vous est envoyé depuis le Générateur de Mots d'Amour sur 
depuis la rubrique ''narcissotron'' dont le but est de s'envoyer à soi-même un message élogieux. Si vous n'êtes pas à l'origine de ce message, n'en tenez pas compte. Quelqu'un a probablement entré votre adresse email à la place de la sienne, volontairement ou involontairement.

Donc, on peut tricher avec les copains z'et les keupines…
Et bon soleil à toutes z'et à tous !

mercredi 16 juillet 2008

Bouh… Personne ne m'a tagué…!

Mais, je m'y colle !
1- Je suis ouiste et j'ai plein de copains IRL et URL nonistes, je les engueule, ils rigolent et on reste copains, (on boit des coups ensemble).
2- Je suis Ségolèniste (pas Ségolènolâtre) et, pareil, j'ai plein de cops anti-Ségo., je les engueule, ils rigolent et on reste copains, etc.
3- De par mon boulôt, je me dois de penser 3 à 4 mois à l'avance, et de par moi, ma pensée politique et écologiste, penser sur le siècle, et je procrastine, je procrastine à mort…
4- NS, SuperNullos a deux qualités, il est malin, il a compris qu'il fallait prendre le contrôle de l'UMP pour devenir PDLR, et il est séducteur, (je n'ai pas dit séduisant).
5- Mes plats préférés sont mon poulet à la bière et mon bœuf bourguignon daubé…
6- le blog que je déteste est celui de JMM, et ceux que je préfère sont : 
Si, avec ça, je deviens pas un blogueur z'influent… ;O)))

dimanche 13 juillet 2008

Spéciale Kassdédi pour le petit Colin

Hier, Colin est né, le 11/07/2008
Regarde ce film d'Arte
Petit Colin
C'est ton futur ! 

Trois films de 45 minutes, d'Arte.
Il t'appartiendra, quand tu seras grand, de porter remède à cela, 
tu devras, aussi, juger les criminels contre l'humanité qui ont fait cela. Ton Poupa et ta Moman, j'en suis sûr, ont toujours voté raisonnablement, ne leur en veux pas. Tu devras, tes frères, tes amis et tes amies, savoir faire! Savoir faire, savoir faire! 
Nous, nous n'avons pas su…
Bienvenue dans ce monde de fous…

Via :

dimanche 6 juillet 2008

DECLARATION DE LA COORDINATION POPULAIRE COLOMBIENNE A PARIS

DECLARATION DE LA COORDINATION POPULAIRE COLOMBIENNE A PARIS
 
Ingrid Bétancourt est libre. La Coordination populaire colombienne (CPCP) à Paris s'en  réjouit pour elle, pour sa famille, ses amis, et tous les comités qui l'ont soutenue. C'est un épilogue heureux après plus de six ans d'attente.
Le peuple colombien est toujours otage.
Le « triomphe » des militaires et du gouvernement d'Uribe n'est pas une bonne nouvelle pour nous : C'est une légitimation de la logique guerrière et des pratiques totalitaires. Une bulle médiatique de plus qui permet d'occulter la para militarisation du régime, la violation quotidienne des Droits de l'Homme, les assassinats systématiques des opposants politiques, syndicalistes, journalistes, défenseurs des Droits de l'Homme.
Nous ne pouvons oublier qu'en Colombie, près de quatre millions de personnes ont été déplacées de force à l'intérieur du pays, en majorité à cause des groupes paramilitaires. Ces groupes, qui agissent seuls ou avec des membres des forces armées, ont fait disparaître au moins 15.000 personnes ; ils les ont enterrées dans plus de 3.000 fosses communes ou ils ont jeté leurs cadavres dans les fleuves. Ils ont assassinés plus de 1.700 indigènes, 2.550 syndicalistes et plus de 5.000 membres de l'Union Patriotique. Régulièrement, ils torturent leurs victimes avant de les tuer.
Entre 1982 et 2005, les paramilitaires ont perpétré plus de 3.500 massacres et ils ont volé plus de six millions d'hectares de terres. Depuis 2002 et leur supposée "démobilisation", ils ont assassiné 600 personnes chaque année. Ils ont réussi à contrôler 35% du Parlement. De 2002 à aujourd'hui, des soldats de l'Armée régulière ont commis plus de 950 exécutions, la plupart en "maquillant" des paysans en guérilleros. Récemment, en janvier 2008, les paramilitaires ont commis 2 massacres, 9 disparitions forcées, 8 homicides alors que l'Armée a perpétré 16 exécutions extralégales. Depuis le début de cette année, 28 syndicalistes ont été assassinés.
En Colombie, les agents de l'Etat et les paramilitaires violent les Droits de l'Homme et le droit humanitaire. De nombreux groupes paramilitaires ne se sont pas démobilisés. Maintenant ils se font appeler "Aigles Noirs". De nombreux para politiques ont des charges publiques ou diplomatiques. En septembre 2007, il y avait 39 affaires. Aujourd'hui, en juillet 2008, il y a plus de 60 parlementaires et hauts fonctionnaires mis en cause dont bon nombre sont en prison). Le président Alvaro Uribe lui-même et son entourage sont mis en cause. L'élection présidentielle de 2006 menace d'être invalidée  par une sentence de  la Cour suprême de justice après qu'une parlementaire ait été reconnue coupable de subornation par cette même cour.
Avec la libération d'Ingrid Betancourt par les militaires, c'est "La Mano Fuerte" qui gagne. Nous ne pouvons que regretter que la guerrilla n'ait pas libérés plus tôt tous les otages. Ou mieux, qu'elle n'ait jamais eu recours aux enlèvements. Cette victoire est un coup très dur pour les guerrilleros, mais c'est surtout un coup terrible pour l'opposition politique démocratique.
Il va être encore plus difficile de faire entendre une voix divergente dans ce pays en faveur d'une solution politique du conflit, de l'échange humanitaire des prisonniers, en faveur de la vérité, de la justice et de la réparation intégrale pour les victimes.
Alors oui : Bravo pour Ingrid. Mais nous pleurons pour la Colombie, sans pour autant baisser les bras.
Paris, 3 juin 2008.
http://coordinadora.popular.googlepages.com/home
Coordination Populaire Colombienne à Paris
FRANCE

mardi 1 juillet 2008

Qu'est-ce que tu fais pour les vacances ?

Jusqu'au 13 juillet. 
Au Carré 30, 12, rue Pizay, Lyon 1er, du mardi au samedi à 21 h, les dimanches à 20 h. 13€/10€
04 78 39 74 61 - carre30lyon@free.fr
Moi, je m'occupe de l'accueil, de la régie son et lumière, puis du pot de l'amitié après… 
Ensuite vacances, le marathon théâtral de juin/juillet sera enfin terminé, ouf !